Si la couverture acidulée d’un magazine tombe à pic en ce moment, c’est bien celle de « Flow » avec la citation de Christian Bobin : « Ne rien prévoir, sinon l’imprévisible, ne rien attendre, sinon l’inattendu« .
Cette « presque philosophie » de vie prônant la capacité d’adaptation à toute épreuve imprévue pourrait inspirer le plus rationnel des statisticiens que l’expérience contredit souvent. A se souvenir des savants sondages pré-électoraux ou autre, la circonspection s’impose ici en toute occasion.
Intelligence artificielle, robots en tous genres n’ont pas encore inventé la « science infuse » et l’actualité planétaire nous incite donc à la modération pour ne pas dire l’humilité.
En édito de ce magazine du « troisième type » , il est indiqué que nous ne sommes jamais à l’abri de bonnes ou mauvaises surprises, qui peuvent parfois déjouer les plans les plus élaborés et calculés au millimètre.
Sont aussi mises en exergue les personnes qui donnent, celles qui reçoivent, et mieux vaut, il est vrai que l’échange soit le plus équitable possible. Il existe aussi des personnes qui savent changer de rôle, selon l’occasion et jouer les deux rôles à la fois. Ce serait l’idéal.
Pour terminer cet opportun édito, parole est donnée à Goëthe, qui résume assez bien la situation : « Tu veux vivre heureux ? Voyage avec deux sacs, l’un pour donner, l’autre pour recevoir » .
Tout est dit ! … Ne reste plus qu’à agir !
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