vendredi 24 janvier 2020

L’ « Ambigu », comique ?

 

Et un mot de plus au compteur !
Merci au cousin germain de l’illustre chef d’orchestre lillois, Casadesus ! : Frédérick, de son prénom, journaliste, présentait son ouvrage au festival nîmois de la biographie :
« Douze protestants qui ont fait la France » .
Il ne s’agira pas ici des douze apôtres, encore moins des douze salopards, mais presque.
Edgar Morin, l’infatigable, signait quant à lui à la table voisine, ses dédicaces au Carré D’art ; juste après son intervention au théâtre Bernadette Lafont.
En attendant Assouline, perdu dans les mondanités du turbulent FOG, surgit un expressif journaliste, issu de l’ illustre famille d’artistes.
Dans la famille Casadesus donc : le fils du père, directeur du théâtre « l’Ambigu Comique » à Paris.
A lui, ce jour de partager une anecdote familiale :
« L’ambigu« , c’est le nom donné au petit souper que l’on prend avant ou après une pièce de théâtre » confiait-il tout sourire ;
« C’était le nom du théâtre de mon père « l’ambigu ». Il avait beaucoup de qualités, vous savez , mon père, mais une lui faisait cruellement défaut, il n’avait pas d’humour. C’est pour cette raison peut-être que l’adjectif comique a disparu de son théâtre. »

C.Q.F.D .

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