
Des chasseurs auraient dispersé en bordure des chemins de Moussac des pièges à renard . Si le renard reste rusé par nature, les chiens et leur propriétaire sont sans doute moins attentifs, à observer les dix empoisonnements canins répertoriés sur ces chemins la semaine dernière.
La presse radio , écrite et régionale a donc été conviée à dénoncer ces pratiques peu…cavalières .
Ce carnage relève-t-il des chasseurs de Moussac , portant apparemment des œillères, ou une banale affaire isolée d’un prédateur, humain, en l’occurrence, disposé à semer la discorde entre chasseurs, ou pire à dresser les défenseurs de l’environnement et de la nature les uns contre les autres ?
Une troisième solution pourrait être envisagée : l’œuvre d’un irresponsable ?
Dans ces cas là, la question reste toujours : à qui profite le crime ?